Posté le 8 juin 2020 - par skolgwen

Partage de textes libres (2)

Will continua à marcher dans la forêt. Il entendait des grincements, des gémissements et des cris. Effrayé il courut vers le nord mais il les entendait toujours puis, clic-clac, il se retourna : il y avait une petit cabane avec de la lumière.Tout à coup , un homme en sortit avec une faucille !!!

Camille

LES PERIPETIES D’UNE SALADE

Il était une fois, une salade. Elle avait plein d’amis : le petit pois, la carotte, la citrouille et la courgette. Un jour, ils sont partis en balade et ont rencontré une   coquille. Mais il n’y avait pas d’escargot dedans ! Ils sont alors partis à la recherche de l’escargot. 3 000 000 de dixièmes de millimètres plus loin, ils ont vu une grive. Quelle ne fut pas leur surprise quand ils découvrirent que la grive tenait l’escargot non pas dans son bec, mais sur son dos ! Elle venait de le sauver d’une mort certaine en tombant d’un pied de tomate ! Depuis ce jour, la salade et ses amis ne furent plus jamais étonnés de rien ! (même quand ce fut une chenille qui tomba du pied de tomate) !!!

Angèle

Mauvaise journée

 Je me réveillai, ce matin-là, 7h30, j’avais complètement oublié que j’avais école. Alors je descendis quatre à quatre les marches de l’escalier et j’entendis ma mère marmonner :

« Toujours en retard ce gamin, faudrait qu’il se lève plus tôt ! »

Moi qui avais tout entendu, je fis de mon mieux pour me dépêcher. Alors je courus dans l’escalier en chaussettes et là, à cause d’elles, je glissai et « BOUM », je dévalai l’escalier tout en roulant sur mon dos jusqu’en bas. Ma mère me vit et dit :

« Bien fait, ça t’apprendra à être en retard tous les matins ! »

Alors je m’assis à table en silence tout en dévorant mes tartines beurrées de confiture. Quand j’eus fini, je fis mon cartable et allai au collège. Arrivé là-bas, j’allai dans ma classe et comme d’habitude j’étais en retard. La prof me dit :

« Cette fois, j’en ai marre que tu arrives tout le temps en retard. Tu me copieras 300 fois « je n’arriverai plus en retard au collège », d’accord ?! D’ailleurs, revenons aux examens que j’ai corrigés. Je les donnerai dans l’ordre croissant. Nous commencerons par … Rémi ! »

Rémi, c’était moi ! Alors je pris  l’évaluation avec regret et lus dans ma tête. Et c’est là que je vis en gros, et en triple fois souligné, un 0/20 !  Je mis la feuille dans mon porte-vue sans que personne ne la voie.  Je continuai le cours avec plein de remarques puis, après la sonnerie, j’allai avec d’autres camarades dans la classe de français. J’étais très fort dans cette matière sauf que, à cette dictée, j’eus 50 fautes sur 50 mots. Je fus vraiment déçu. Les autres cours furent vraiment trop énervants : j’avais toujours 0/20. A l’avant dernier, je m’endormis carrément sur la table et ronflai tellement que la maitresse se boucha les oreilles en prétendant avoir entendu une tronçonneuse ! Au dernier, je bus tellement dans ma bouteille que toutes les 2 minutes, j’allais aux toilettes ! Ainsi se termina l’école.

Mon père me ramena à la maison et comme il avait des bonbons dans sa voiture, je lui en demandai un :

« Papa, file-moi un bonbon. »

« Eh oh, ce n’est pas comme ça qu’on parle ! On dit « s’il te plaît » et « merci » ! D’ailleurs, tu n’en auras pas. »

Quelques minutes plus tard, j’arrivai à la maison et ma mère me demanda mes notes d’examens.

« Rémi, s’il te plaît, donne-moi tes résultats. »

Je les donnai à ma mère qui les regarda de très près (parce qu’elle ne voyait pas de loin). Et elle dit :

« Ce n’est pas terrible, c’est même affreux ! Tu ne mangeras pas ce soir et tu feras tes devoirs à la place. » Alors je fis ce qu’elle me dit sauf que la plupart du temps, j’étais en train de regarder des vidéos. Lorsque je voulus me brosser les dents, malheur, plus de dentifrice ! Alors je dus POLIMENT en demander un. Puis quand je dus mettre mon pyjama, je me rendis compte que ma mère l’avait mis au sale parce qu’il sentait mauvais. Je n’en avais plus du tout : ils étaient tous au sale. Je dus donc me coucher en slip ! A l’heure de dormir, j’avais tellement chaud que je bougeais dans tous les sens et pour couroner le tout : je fis un horrible cauchemar !

Satiah